
Plantes sauvages « du bas de l’immeuble » n°11 : l’achillée millefeuille.
Celle-ci est très commune, de la ville à la montagne, et elle est en fleurs en ce moment. Particulière par l’agencement de son inflorescence, comestible
Vous trouverez dans cette rubrique des renseignements sur les plantes qui s’épanouissent en ville, et notamment à Grenoble.
J’ai commencé cette série pendant le premier confinement de 2020. J’ai été restreinte, comme tout le monde, au périmètre d’un kilomètre carré autour de mon habitation. Et pour continuer à échanger avec vous, j’ai entrepris de répertorier et écrire quelques articles sur les plantes qui se trouvent toutes proches de nous. Ce travail n’est pas du tout exhaustif. Mais ce petit échantillon vous permet d’entrevoir la richesse et les nombreux intérêts de ce qui pousse à nos pieds 😉
Comme les agents d’entretien des espaces verts ont été absents eux aussi, nous avons pu observer la montée en fleurs de nombreuses plantes. Habituellement, ces végétaux sont fauchés avant leurs floraisons.
J’appelle « sauvages » les plantes non ornementales et non volontairement apportées par l’homme dans son milieu.
Celle-ci est très commune, de la ville à la montagne, et elle est en fleurs en ce moment. Particulière par l’agencement de son inflorescence, comestible
Celle-ci est connue de toutes et tous, au moins par son nom : le plantain. Le plantain lancéolé est une des « basiques » que j’apprécie particulièrement,
Un peu plus de délai sépare cet article depuis le dernier en date, la préparation des sorties m’occupe bien en ce moment 😉 Mais la
Surprenante rencontre ! J’ai été très surprise de la voir celle-ci!! Toujours dans le même secteur de un kilomètre carré, en plein Grenoble. C’est une
Plantes Sauvage du « bas de l’immeuble » n°7 : la mauve sylvestre
Un peu d’étymologie Et voici une aromatique, utilisée pour parfumer de nombreuses recettes! Très abondante dans les pelouses fraîches et les sous-bois, il s’agit du
Par la nature de mon métier, je suis souvent sur le terrain, et peu joignable.
Je préfère donc un premier contact par mail à lechosauvage[at]gmail.com, que je relève tous les jours, sauf congés, à mon retour au bureau.
Le contact par téléphone est plutôt à privilégier pour des demandes d’informations un peu urgentes ou des demandes particulières dont les réponses ne figurent pas sur le site. Merci